31 mars 2010
1er mai 1956
Le vent a secoué la toile toute la nuit. Du coup, je n'ai que somnolé. Dans mon demi sommeil, j'ai cru entendre pleuvoir à torrent sur ma tente. J'ai alors repensé au premier baiser furtif, que j'ai donné à Marie-Louise en sortant du Normandy à Alençon,...